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Au jour le jour, et la nuit.
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14 octobre 2010

la part de l'autre

Il pourrait y avoir plusieur message portant ce titre, tant la part de l'autre est omniprésente, bizarrement "consciement" dans la partie nocturne d'une journée. Notamment à travers des rêves, ou sa manifestation, sous différentes formes se passe et interpèlle pour peu que l'on s'y intéresse.

Mais, alors, qu'en est-il de la partie "visible" de la journée, est-ce que cet autre, qui tourmente, existe aussi ? se manifeste-t'il, contrôle-t'il malgré notre pilotage ? c'est une question que je me pose.

L'autre est celui qui est, partenaire, fou, agresseur le plus souvent à l'égard de notre personne, mais que l'on n'arrive pas à éradiquer, que l'on ne souhaite pas éradiquer d'ailleurs. Envers lequel l'on garde une trace d'intérêt, d'amour permanente, avec le profond espoir de la complétude.

Il a sa beauté propre, celle d'exister, ce qui est beaucoup en tant que tel. A partir de là, tout est à construire.

Au delà de la part de l'autre, j'ai fait il y a deux nuits ce rêves : c'est la partie abandonnée d'un village, qui est dans la nuit, les habitants, qui s'y trouvent, sont endormis, et ne veulent pas se faire révéiller, pour ne pas attirer l'attention de guerrier extérieur.

Mais dans les matières de la ville, arrive une substance verte fluorescente, par morceaux, gluante. Elle fond la matière qu'elle touche. Puis une personne, met la matière et la substance en mouvement, ce qui vaut à l'ensemble de jouer quelques notes de musique, carillon.

Les guerriers se rapprochent, sans déranger pour autant, les formes s'anime.

Depuis, j'ai le sentiment que le vert est passé au bleu clair, fluorescent.

Deux nuits aussi que mes grands parents me visitent. Hier chez eux, autours d'une grande table, j'embrasse mon grand père et ma grand mère. Ils ont veillis, au delà de leur vieillesse.

Il est question que grand père m'enmène dans une camionette, en afrique, pour faire fortune. Mon père est d'accord. Pas ma mère. Puis s'est Mon épouse qui s'enfuit dans un véhicule, avec les enfants.

Est la nuit dernière, encore mes grand parents, ils ont chez eux une vis géante pour nourrir leur chaudière de granulés de bois. D'autre convives, que je connais sont là.

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