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Au jour le jour, et la nuit.

Au jour le jour, et la nuit.
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15 avril 2016

mon beau-papa

J'aimerai écrire une lettre pour raconter la vie de cet homme qu'était mon beau papa, qui est parti hier dans la nuit, emporté par une crise cardiaque.

C'était un homme simple, plein de bonté et de gentillesse. Enfant il a connu la pauvreté, il a du se battre au travail toute sa vie durant, pour vivre et pour permettre à sa grande famille de vivre également. Il n'a peut être pas toujours fait ce qu'il fallait au bon moment, mais c'était un homme de coeur qui nous laissera à tout jamais le souvenir d'un homme souriant, toujours attentif à savoir comment nous allions. Toujours attentionné, toujours un cadeau pour ses petits enfants.

Cet homme aurait certainement mérité une autre vie, plus à son avantage, mais ce n'est pas comme cela que ça s'est toujours passé. Je voudrais aujourd'hui le remercier de qu'il a été, de la femme qu'il m'a permis d'épouser, et à travers laquelle je vois par l'amour qu'elle lui rappelle, qu'il aura été un cadeau pour ceux qui l'on connu.

Merci Domingo.

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26 juin 2013

pina

Emouvante pina bausch que ce soir sur arte.

Oh je n en ai vu que 5 mn.

Une femme blonde habillée en robe bleue claire qui à terre se meut péniblement quand derrière elle une femme en noire lui jette de la suie noire par pelettés.

Des pleurs lointains me viennent aux yeux comme le reveil d'une image, celle d une mère qui avance péniblement assaillie par les souffrances quotidiennes qui lui sont jettées dessus, puis moi sur qui se projette nécessairement ces situations salissantes.

 

Décidèment mère tu méritais mieux que tous cela.

20 janvier 2013

le temps qui passe

Comme le temps passe, que je n'ai fait la visite de cette place, sans pour autant que l'idée ne me quitte, d'y venir de temps en temps pour y déposer le témoignage de mon être errant.

 

J'y reviens, y suis et maintenant ... eh bien il faudrait y travailler, pour encore continuer à y déposer ce qui se réveille, se révéle et se mélange dans le tout de la non dissociation.

 

En contrepartie, des éclaircissement qui sont reçus, ils donnent à recevoir un calme parceque l'on voit le paysage de ses constituants tels qu'ils nous ont été donnés, par nos anciens ... et aprés ?

 

Alors viendra la nuit, pour se reposer.

7 avril 2012

Le fou du Roi

Parcequ'il a aperçu le Roi, assis sur son trône, une seule fois, qu'il en a ressentit toute la grandeur, qu'il a été soumis au calme de sa puissance, alors qu'il était en crise de panique, alors, pour cela, l'enfant a été rassuré. L'image lui a permis de tenir devant le doute.

Mais elle ne lui a pas donné à s'en nourir pour autant, cela aurait-il été possible d'ailleurs ?

Le souvenir de ce moment intense, existe encore dans sa mémoire d'adulte. Il le comprend comme une raison de sa construction, celle des hommes d'ailleurs, comme le garde fou qui évite de partir à la dérive.

C'est un havre de tranquilité qu'offre l'image du roi. On aimerait que cela soit toujours ainsi, alors secrétement, nous voilà à l'espérer, parceque l'on a été touché un jour, mais cette grace se transforme. Sous l'attente, le tâtonnement, avec un fond de fois, elle demeure dans l'incertitude qui a pris place, l'espoir de demeurer.

9 octobre 2011

dieu

Croire en Dieu, c'est commer porter un habit, intérieur, il nous protège.

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17 septembre 2011

Dieux n'est pas mort

ça y est j'ai décidé.

Je croirais en Dieu, le jour ou il m'aura tué.

20 août 2011

le bisou baveu

A la sortie de caisse du supermarché ou je me trouvais à faire les courses de la semaine, deux chariots quand même, un groupe de personne handicapées, mentales, évoluent vers la sortie.

Pour ma part, j'évite la porte par laquelle il passe, au cas ou trop de proximité leur donne envoe de me prendre  dans leurs bras sentant une certaine affection et proximité que je porte à leur état.

Certains sont d'ailleurs déjà sortie car la porte à pavillon que j'emprunte est manifestement trés trés lente.

Il sont ensemble, forment comme pour les gens dit normaux des groupes, ou des couples pour les "amoureux", je m'en rend compte quand je tourne la tête après avec entendu un "eh t'as vu banie elle m'a fait un bisou bavue". Le couple d'ou vient cette phrase est sur le côté gauche de la porte de sortie qu'ils ont empruntés, elle, le faciès du chinchard, pas plus de 1,3 m, lui faisant dans les 1.9 m, les cheveux et la barbe blanche regardant le reste du groupe, un grand sourire aux lèvre, heureux de son trophée, le bisou baveux.

Pourquoi alors qu'il est avec celle qui lui permet de former un couple, a-t'il besoin de dire au reste du groupe et de cette façon ce qu'il vient de se passer ?

Je me remémore alors les scènes ou j'ai entendu la même expression, celle du petit enfant qui embrasse de la sorte, le jeune qui pour rigoler menacera une compagne de la sorte, un parent avec son enfant.

Alors, je comprends que celui qui vient de me faire entendre cette phrase de nouveau, réalise un geste sans conscience. Il ne prend pas compte de sa compagne, ce qui lui importe le plus, est de communiquer au reste du groupe un image commune, ce qui lui permet à lui d'exister en tant qu'individu appartenant à un monde.

En laissant le raisonnement s'installer, alors je comprends la force de l'image dans notre société. L'image m'apparait alors comme le refuge de notre mortalité. Nous sommes mortels, ce dont nous avons fortement conscience, alors, il y a au delà de nous, des images communes qui se justifient au delà de nos actes. Ces images se transmettent de générations en générations, comme si elles avaient une vie à part entière, une immortalité.

Ces cette immortalité de l'image qui nous supporte en permances à travers toutes les images que nous avons reçues, enfant, jeunes, adultes. Elles sont porteuses de continuité, d'espoir. D'où l'intérêt certain de s'intéresser aux images, afin d'en comprendre la réalité et dons s'en détacher pour retrouver notre personne intérieure, seule, et qui sait peut être elle aussi image.

seb.

 

29 juin 2011

au début ...

"Au début était le verbe" est une affirmation d'intention construite sur un des résultats de l'action qui en a découlé. Ainsi le développement de l'homme et de son langage, aura permis la construction de cette affirmation. L'intention est celle d'une chose, la pluspart du temps, et par soucis de reconnaissance d'une de nos limites, elle est appelé communément Dieu. L'affirmation est-elle suffisante pour servir de base à la spéculation théologique ou vivante ? En tout cas elle donne une mesure de ce que l'on peut remarquer dans tous phénomènes de notre environnement, qu'il soit physique, psychique, économique ou autre, ces celui de potentiel. Le potentiel est ce qui crée un changement d'état, par le mouvement, la combinaison, et donc donne naissance à une évolution. La grande question qui se pose, est qu'est-ce qui caractérise le potentiel, et sa mise en équation serait-elle une approche de la compréhension de ce qui EST ?
27 mai 2011

Resistance

Comment résister d'avantage à la perte de son paradis personnel.

Je vais devoir quitter l'habitation ou je me trouve, dans un environnement de rêve, pour une destination perdue dans le milieu de la france, une maison qui me plaira que moyennement et tous cela pour la bonne caus du travail qui me permet de nourir ma famille.

Quelle injustice que de contraindre une famille entière à se séparer de ses attaches, repères et autres habitudes pour la raison capitalistique du travail.

Pourquoi ces situations d'abandon et de déchirement.

Quand je me pose dans le salon de cette maison que j'aime tant, à qui j'ai donnée et qui me ressemble. Elle est grande, généreuse en espace et en caractère. Elle reçoit facilement, héberge amicalement et de sa constitutation forte et solide, protège ses habitants.

Mais demain, plus rien pour moi, ni pour nous. Encore une leçon d'humilité de la vie, une de plus, pour apprendre à quoi ? à ce qui est le plus fort. 6 mois de solitude, de vie en célibataire, loin des miens. Tous cela pour rapporter un salaire à la fin du mois, et surtout pour permettre à mes enfants de pouvoir dire, mon père travaille, à mon épouse de pouvoir dire, mon mari travail, et à moi c'est quoi ce bordel.

Après 9 mois de galère, je passe pour un héro. Celui qui sacrifie sa vie familiale, celui qui roule 5 h pour partir et revenir chez lui. Les statuts changent trés vite dans notre société.

Quel sens donner à tous cela, cela celui du subit ? à 20 ans ça amuse, à 30 ans on sourit, à 40 ans on fait la gueule, et après ?

Bon courage aux voyageurs de la route.

20 mai 2011

bord de mer

Allongé sur le sable, la tête posée sur le sable, ma joue gauche posée sur le sable, seul je contemple.

Devant moi, le magique spectacle de la mer, calme dans son lointain, troublée en bord de plage, avec vague, écume et bruit de fracas.

C'est beau, c'est prenant, la verticalisation a quelque chose de déstabilisant.

Elle m'entraine dans d'autres mondes, univers, réalités.

J'aime ces effets de bord, qui nous dérangent, mais sont porteur d'espoir.

22 avril 2011

immobile

Je suis sur le sol de la vallée, autours de moi se trouvent les montagnes, et en dessous, les cavernes.

J'ai essayé de grimper aux rochers, ceci afin de m'élever et de devenir un être supérieur, mais je ne suis pas resté longtemps, car le vertige m'a pris.

Alors, redescendu sur terre, me voilà partie dans un voyage plus intérieur, celui qui se trouve sous la terre, mais là à la découverte de ce qui s'y cache, c'est la peur qui m'a pris.

Je suis donc remonté à la surface, et des deux freins qui m'habite, vaincre celui de la peur me  semble le plus important.

Je suis un homme, terrien, assis immobile sur le sol de la vallée.

17 avril 2011

pas grand chose

ce que je veux, c'est pas grand chose, juste un petit boulot pour pouvoir rester ou je suis.

avec ma famille, prés des amis, de cette région que j'aime.

bon ben, tant pis, on va s'en aller, que faire d'autre ???

16 avril 2011

mi vide

ça y est c'est mi vide

15 avril 2011

image(s)

j'ai parfois des images précises d'évidences qui me viennent à l'esprit.

ce peut être en conduisant, en me promenant, ou tout autres situations.

elle me permettre de me rendre compre de l'évidence de certaines situations de ma propre vie, ou de la vie en général.

elles sont comme, pourquoi les relations entre les hommes sont faites de pouvoir, pourquoi je n'arrive pas à accéder à tel objectif professionnel, etc ...

n'en laissant pas de trace, de note, elles disparaissent, se cache, mais le sens que j'en ai reçu, me servira-t'il à quelquechose, si ce n'est au moins un peu plus de paix ?

1 avril 2011

proche de sa vérité

Est-ce que ceci a un sens

Être proche de sa vérité

Redevenir que nous étions

Et s'il n'y avait pas tout simplement

De cette idée qui fuit

12 mars 2011

ce qui paraitrait être vrai

Bonjour,

Voilà une question qui me tracasse, dérange, abime, qu'est ce qui est vrai et quelle en est la valeur.

Je conçois deux façon d'appréhender la vérité, ou ce qui est vrai. La première est celle de la raison, celle qui sur la base de ce que l'on connait, arrive, par déduction logique sur la base d'autres vérité établie, à la conclusion inéluctable. Cette vérité là est celle de la science, même si pour y arriver on va par fois utiliser son intuition. La démarche par l'intuition va donner l'approche globale du chemin à suivre, puis le raisonnement donnera l'explication. C'est ce qu'il se passe lorsque l'on a à démontrer un problème de mathématique, la solution se construit d'elle même, et on finit par démontrer le résultat en utilisant ce qui est connue.

 

L'autre vérité ne se réflechit pas, n'est pas basé sur les connaissances acquises, mais elle s'impose. Elle est la vérité des situations, celle qui nous vient à l'esprit, on ne sait pourquoin après qu'un évenement se produise. Cette vérité là est vécue, et peut avoir plusieurs conséquence. C'est lors d'une promenade, le visage d'une personne que l'on croise, puis soudainement, se fait en nous le chemin que nous connaissons un évènement du passé que nous avions oublié, une explication soudaine du pourquoi nous n'aimons pas telle ou telle chose, comme une odeur ou un gout par exemple.

 

Les vérités sur second type sont beaucoup plus subtiles, elles appellent à nos connaissances intérieures, celles dont nous n'avons pas conscience. Elles sont riches de valeus, elles donnent à se regarder autrement, nous apprennent à nous comprendre d'avantage, elles dérangent parfois, raremen elles laissent insensibles.

 

Que faire de ces dernière. Ils peut leur arriver plusieurs choses, soient elles disparaissent comme apparues, soudainement, comme si nous n'avions pas la capacité à se nourir de ce qui nous a été présenté, comme si nous sommes de simples observateurs, impassifs. Elles peuvent aussi laisser un souvenir que l'on garde longtemps, mais sans apporter pour autant de sens. Elles peuvent également, porter un sens que l'on reconnaitra et que l'on aura en soit fortement pour se permettre de considérer sa situation différement, soit en tant qu'élement positif nous permettant une meilleure gestion de nos ressource, ou alors soit somme un élement déstabilisant qui nous donnera accès à d'autres contenus non enrichissant même si ils sont fort en sensation cependant, comme ceux de la dépravation par exemple.

 

Bonne nuit.

11 novembre 2010

Comment les vieux ne viellissent plus

L'autre jour dans une rame de métro, à Paris, je suis monté avec une personne agée certainement de plus de soixante ans. C'était une dame avec les cheveux mi-long, habillée de rose, rouge et collant blanc. Elle portait avec elle un petit sac noir, fait de matière plastique brillant, puis un autre plus grand, type sac de supermarché, dans lequel on pouvait deviner quelques affaires sans savoir ce dont il s'agissait.

Elle paraissait aigrie, le visage ridé, sans sourire, comme fatiguée. De temps en temps elle sortait de sa poche, un bonbon.

J'ai alors pensé que cette personne de part ses habits et ses bonbons était restée ou redevenue la jeune fille quelle avait été, ou alors qu'elle était devenue l'image d'un enfant auquelle elle pensait.

A-t'elle réussi à s'extraire du temps pour devenir intemporelle, et ainsi éternelle ?

11 novembre 2010

process 9

C'est la fin d'un rêve, qui m'a donné le plaisir d'embrasser une amie. Nous étions ensemble, et persuadé qu'elles éprouvait un  sentiment à mon égard, j'ai commencé à l'embrasser, ce qui m'a donné un sensation de bien être.

Elle demande alors le process 9.

J'en vois rapidement le descriptif sur un papier, chiffonné, écrit à l'encre bleu, rangé dans ma poche en jean, et le temps de dire oui, je demande "quoi ? qu'est-ce que tu as dit ?". Ceci lui laisse le temps de se rétracter de sa demande, alors que je savais clairement ce dont il était question.

La voyant sur cette nouvelle position, je tente de la rassurer, lui dit que c'est d'accord, que cela correspond bien à ce que je souhaite, mais, rien à faire.

11 novembre 2010

La vieille dans l'armoire

Quand nous sommes arrivés dans notre nouvelle maison, il y avait dans l'une des pièces du bas, un meuble de grande dimension. Ce meuble de plus de 40 ans avait été réalisé sur mesure. Sa construction, de bonne qualité, offrait différentes zones de rangement, espace pour téléviseur cathodique de grande dimension, secrétaire, multiples bibliothéques. Il n'était pas du tout à notre gout, et prenait vraiment beaucoup de place dans la pièce ou il se trouvait.

Comme c'était un meuble de caractère, on avait le sentiment que l'esprit d'une vielle s'y trouvait logé. Aussi, vouloir se séparer de l'objet, pouvait mettre en difficulté son habitante. Cependant il fallait bien que la chose se fasse. Alors, j'ai du penser que la maison comportant d'autres pièces de bonne dimension, la vielle y trouverait le loisir de pouvoir s'y loger.

Le meuble est partit en petit morceaux, à la déchetterie.

Puis, repensant à cet épisode, 1 an après, peut être parcequ'il est question que nous deménagions de nouveau, je me suis mis à repenser à l'idée de la vielle. Quand il lui à fallut partir, elle a du s'en trouver contrainte, peut-être même dérangé. Mais elle l'a fait, elle est passé d'un espace temps statique à un autre, elle a eut à s'adapter, à y trouver de nouvelles compensations.

C'est la relation au temps et ce que l'on en fait qui me semble primordial. En oeuvrant sur le chemin du savoir Adam et Eve devinrent mortels, et se retrouvèrent ainsi dans une logique temporelle différente. Naitre, vivre, mourir.

La relation au temps me semble l'élément nécessaire à toutes évolution pour l'acceptation de son devenir. Il est par là l'essence même d'un mouvement vers de nouveaux chemins, inéluctable réalité qui nous impose d'être au delà du repos trouvé.

14 octobre 2010

la part de l'autre

Il pourrait y avoir plusieur message portant ce titre, tant la part de l'autre est omniprésente, bizarrement "consciement" dans la partie nocturne d'une journée. Notamment à travers des rêves, ou sa manifestation, sous différentes formes se passe et interpèlle pour peu que l'on s'y intéresse.

Mais, alors, qu'en est-il de la partie "visible" de la journée, est-ce que cet autre, qui tourmente, existe aussi ? se manifeste-t'il, contrôle-t'il malgré notre pilotage ? c'est une question que je me pose.

L'autre est celui qui est, partenaire, fou, agresseur le plus souvent à l'égard de notre personne, mais que l'on n'arrive pas à éradiquer, que l'on ne souhaite pas éradiquer d'ailleurs. Envers lequel l'on garde une trace d'intérêt, d'amour permanente, avec le profond espoir de la complétude.

Il a sa beauté propre, celle d'exister, ce qui est beaucoup en tant que tel. A partir de là, tout est à construire.

Au delà de la part de l'autre, j'ai fait il y a deux nuits ce rêves : c'est la partie abandonnée d'un village, qui est dans la nuit, les habitants, qui s'y trouvent, sont endormis, et ne veulent pas se faire révéiller, pour ne pas attirer l'attention de guerrier extérieur.

Mais dans les matières de la ville, arrive une substance verte fluorescente, par morceaux, gluante. Elle fond la matière qu'elle touche. Puis une personne, met la matière et la substance en mouvement, ce qui vaut à l'ensemble de jouer quelques notes de musique, carillon.

Les guerriers se rapprochent, sans déranger pour autant, les formes s'anime.

Depuis, j'ai le sentiment que le vert est passé au bleu clair, fluorescent.

Deux nuits aussi que mes grands parents me visitent. Hier chez eux, autours d'une grande table, j'embrasse mon grand père et ma grand mère. Ils ont veillis, au delà de leur vieillesse.

Il est question que grand père m'enmène dans une camionette, en afrique, pour faire fortune. Mon père est d'accord. Pas ma mère. Puis s'est Mon épouse qui s'enfuit dans un véhicule, avec les enfants.

Est la nuit dernière, encore mes grand parents, ils ont chez eux une vis géante pour nourrir leur chaudière de granulés de bois. D'autre convives, que je connais sont là.

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